Archive for février, 2011

Le site de l’agence Athos

28 février 2011

Agence Athos

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Le cours du pétrole se stabilise.

26 février 2011

Le pétrole sous tension.

Les prix du pétrole se stabilisaient vendredi en fin d’échanges européens, alors que le marché continue de s’interroger sur l’offre de brut disponible pour compenser la production libyenne. Vers 17H00 GMT, le baril de Brent de la mer du Nord s’échangeait à 111,41 dollars à Londres, en hausse de 5 cents par rapport à la clôture de la veille, tandis qu’à New York, le baril de « light sweet crude » (WTI)cédait 11 cents, à 97,17 dollars. Les cours du baril restaient suspendus aux troubles en Libye, où l’étau se resserrait autour du leader libyen Mouammar Kadhafi, confronté à un fort mouvement de contestation du régime et à la pression de la communauté internationale. L’Opep continue de dire qu’il n’y a pas de risque d’approvisionnement pour le moment, mais qu’elle se tient prête à agir s’il le faut. L’Agence internationale de l’énergie (AIE) estime que de 500.000 à 750.000 barils par jours de brut, soit moins de 1% de la consommation mondiale quotidienne, ont jusqu’à présent été retirés du marché en raison des violences en Libye, important exportateur de brut.

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Quand l’automobile va…Tout va!

25 février 2011

Renault et PSA vont rembourser à l’Etat un milliard d’euros chacun, soit la deuxième tranche du prêt de 6 milliards que leur avait accordé le gouvernement pendant la crise, a annoncé, jeudi soir 24 février, le ministre de l’industrie, Éric Besson.PSA et Renault ont bénéficié en 2009 de prêts de l’Etat de 6 milliards d’euros (3 milliards pour chaque groupe) pour les aider dans la crise financière, en contrepartie notamment d’engagements sur la non-fermeture d’usines en France. Le calendrier initial prévoyait un début de remboursement à partir de 2011, l’opération devant s’étaler jusqu’à 2014.Mais les groupes ont annoncé en septembre le remboursement anticipé d’une première tranche d’un millard d’euros chacun. Ils ont ensuite annoncé récemment qu’ils solderaient totalement leur dette cette année, en remboursant les deux dernières tranches en février puis en avril.Ces remboursements sont facilités par le redressement des résultats des deux groupes en 2010. PSA Peugeot Citroën a en effet dégagé un bénéfice net de 1,13 milliard d’euros en 2010 après deux années de pertes. Renault a de son côté enregistré l’an dernier un bénéfice net de 3,42 milliards d’euros, après une année 2009 dans le rouge. « J’y vois le signe que notre industrie automobile va mieux, et que l’action déterminée de l’Etat a porté ses fruits », a déclaré le ministre.

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DE L’EAU ET DES HOMMES.

24 février 2011

DE L’EAU ET DES HOMMES
Sous la direction de Jean-Claude Lefeuvre
Préface d’Irina Bokova, directrice générale de l’UNESCO

L’eau est une ressource vitale et d’une permanente utilité, pour l’homme. Elle est au centre de tout, de toute la vie de la planète, qu’elle soit humaine, végétale ou animale. Indivise, miscible à toutes les formes de vie, elle interfère avec l’existence humaine, les organisations sociales, les secteurs économiques. Au cœur de la nature, elle constitue l’élément clef de tout écosystème ; l’homme et la nature ont besoin de l’eau.Sa rareté, son absence, son abondance ou ses excès font certainement d’elle la première et la plus injuste des inégalités de la planète, la première cause de déséquilibre entre les sociétés confrontées à un manque d’eau ou à sa surabondance, et celles où elle n’est que bienfaits. Aujourd’hui, les relations de l’homme à l’eau ont changé de nature : l’eau pénurie, l’eau marchande, l’eau gaspillée, l’eau dégradée, l’eau des loisirs, l’eau du confort… Quel qu’en soit le contexte, elle est un enjeu politique, stratégique et économique. La science et la technique sont parties prenantes de cet enjeu.L’intérêt d’un tel constat est qu’il permet de décrypter, avec l’œil du scientifique, de l’aména- geur, de l’historien, du géographe, les panoramas multiples et variés qui ont conduit les sociétés des zones humides et des zones arides à s’adapter à ces différents états de fait. C’est cette histoire et cette géographie des rapports entre une ressource irremplaçable, de plus en plus convoitée, et ses usagers, qu’il est question de décrire ici. C’est autant son histoire que le présent de l’eau et son avenir qui se jouent face aux menaces majeures qui pèsent sur notre planète.

Une mobilisation sans précédent

Sous la direction de Jean-Claude Lefeuvre, professeur émérite au Muséum National d’Histoire Naturelle, 35 scientifiques de renom ont participé à cette œuvre collective. L’UNESCO, qui pilote plusieurs programmes clés destinés à faire du droit à l’eau une réalité pour tous, a bien voulu apporter sa contribution – préface de Madame Irina Bokova, directrice générale – L’Agence Européenne pour l’Environnement s’est également intéressée à cette initiative. Diverses instances prestigieuses, étrangères ou françaises, académies, universités, centres de recherches, organismes publics ou privés, ont également souhaité s’associer à ce projet. La raison de cette mobilisation tient à l’importance de l’enjeu : l’eau constitue à l’échelle plané- taire un problème majeur qui nous concerne tous.  Pour y répondre, du politique au citoyen, chacun doit se donner les moyens de savoir et comprendre afin de mieux agir.

Pour rappel le 22 mars: Journée mondiale de l’eau.
L’Assemblée générale des Nations Unies a adopté le 22 décembre 1992 une résolution qui déclara le 22 mars de chaque année « Journée mondiale de l’eau », à compter de l’année 1993, conformément aux recommandations de la Conférence des Nations Unies sur l’environnement et le développement (CNUED). Cette résolution invitait les États à consacrer ce jour selon le contexte national, en concrétisant des actions telles que la sensibilisation du public par des publications, des diffusions de documentaires, l’organisation de conférences, de tables rondes, de séminaires et d’expositions liés à la conservation et au développement des ressources en eau.

Sophie Bonnet
Port : 06 80 27 53 56
sof.bonnet@yahoo.fr
Attachée de presse indépendante

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L’usine de Shougang la plus grande aciérie de Pékin délocalisée en province.

21 février 2011

Shougang, la plus grande aciérie de la capitale chinoise Pékin, a fermé définitivement ses portes début janvier 2011 au terme d’un long processus de délocalisation en province: un déplacement industriel colossal dû aux mesures environnementales décidées par le gouvernement. Conséquence humaine: plus de 20 000 ouvriers attendent de savoir ce qu’ils vont devenir.

Construit en 1919 à seulement 17 km de la célèbre place  Tiananmen, le plus grand groupe d’acier du pays déménage ! Les ouvriers eux,prendront les bus pour aller sur le nouveau site. « 8 000 personnes doivent prendre les bus. Ce sont des gens qui vivent à Pékin et qui sont amenés à travailler dans les nouvelles usines. Ils restent 12 jours sur place et ils reviennent ensuite se reposer pendant 4 jours. Au début ils attendaient le bus dehors, mais comme il fait froid l’entreprise à construit une salle d’attente près de l’ancien site », raconte Zhu Guo Lin, responsable de l’accueil. Métro, bus, boulot. 3 h 40 de route sont nécessaire pour rejoindre les nouvelles usines du Hebei. Pour la direction, « cette relocalisation est stratégique, l’accès à la mer devant permettre de réduire les coûts des transports ». Pour le gouvernement, ce déménagement du plus gros pollueur de la ville répond donc d’abord aux nouvelles normes environnementales adoptées depuis les Jeux Olympiques en 2008.

L'usine de Shougang à Pékin

Les derniers salariés du site ne partagent pas cet enthousiasme. Xi Vuhong a passé 21 ans dans l’usine de Pékin : « J’irais travailler dans la nouvelle usine après le Nouvel an chinois. C’est très dur…. J’aurais moins le temps de m’occuper de mon fils. Vous savez, la majorité des gens ne voulaient pas se déménagement. 10 % d’entre nous vont perdre leur travail ». En effet, 22 000 salariés du groupe n’ont toujours pas eu de propositions concrètes. Les nouvelles affectations, les retraites anticipées promises par la direction tardent à venir. Seule assurance, une partie du site de 700 hectares maintenant au cœur de Pékin devrait être transformé en parc d’attraction avec pour thème : l’histoire industrielle de la capitale.

Source RFI. Continue Reading »

Voile – B. World Race: Dick/Peyron toujours devant.

20 février 2011

Pas de changement en pole position de la course au pointage de 5h00 :Jean-Pierre Dick et Loïck Peyron occupaient toujours la tête dimanche matin. Mais le duo français devra garder un oeil sur ses poursuivants immédiats : ces dernières 24h les Espagnols Martinez et Fernandez ont grignoté une dizaine de milles, ceci les rapprochant un peu plus des leaders. À noter également le retour dans le top 3 d’une autre paire tricolore, à savoir de Pavant et Sébastien Audigane (Groupe Bel). Les Français sont passés devant Alex Pella et Pepe Ribes (Estrella Damm).
Les trois premiers dimanche 20 février à 5h:
1. Jean-Pierre Dick/Loïck Peyron (FRA/Virbac-Paprec 3) à 11 190 milles de l’arrivée
2. Iker Martinez/Xabi Fernandez (ESP/Mapfre) à 130,6 milles des premiers
3. Kito de Pavant/Sébastien Audigane (FRA/Groupe Bel) à 416 milles

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Canal Seine-Nord: un lien essentiel!

19 février 2011

Le canal Seine-Nord doit désenclaver d’ici 2015 le bassin fluvial de la Seine en le reliant via le Nord-Pas de Calais au reste du réseau européen. Les grands ports maritimes du Havre, de Rouen, de Dunkerque, Zeebrugge, Anvers et Rotterdam seront ainsi raccordés. La liaison facilitera la montée en charge de la plate-forme multimodale de Dourges et bénéficiera au port de Dunkerque en prolongeant l’actuel canal Dunkerque-Escaut. Ce nouveau lien aura forcément une grande influence sur les échanges commerciaux des ferrailles et des métaux entre les différents bassins de consommation.
L’itinéraire prend sa place dans une bande de 500 mètres entre Oisy-le-Verger (15 km de Cambrai) et Janville (nord de Compiègne). D’une longueur de 105 km, il aura une largeur de 54 m, une hauteur d’eau de 4,5 m et une hauteur libre sous les ponts de 7 m permettant le passage de barges avec trois niveaux superposés, 7 ou 8 écluses de 190 m le long du parcours. « Pendant les cinq ans que dureront les travaux, outre les 4000 emplois directs générés par le chantier, près de 10 000 emplois annuels seront créés. Les estimations indiquent entre 10 et 15 000 emplois dix ans après son ouverture », soit en 2022, pronostique François Gauthey, directeur général de Voies navigables de France.
D’après les projections, d’ici à 2020, 17 millions de tonnes (MT) de marchandises emprunteront le canal Seine-Nord (5,3 MT sans ce dernier) ; 6,5 MT de marchandises seront aussi retirées de la route : soit plus de 300 000 camions évités par an. Le trafic par voie fluviale représentera 4 fois plus que maintenant. Ces perspectives de croissance fluviale d’ici à 2020 conduisent à une réduction du trafic routier de 500 millions de tonnes-kilomètres dans le Nord – Pas-de-Calais, ce qui représenterait 700 000 camions en moins par an en 2020. La pollution serait réduite de 280 000 tonnes de CO2 par an. Le budget de cet énorme chantier varie entre 3,1 et 3,5 milliards d’euros, en fonction du choix d’écluses simples ou doubles.

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Voile – B.World Race: Paprec repart à l’heure!

18 février 2011

Après un deuxième stop technique en Nouvelle Zélande, Paprec est reparti à 11 h 11 (heure française).
Joint par son équipe, Jean-Pierre Dick a précisé qu’ils quitteraient bien le ponton à 11h11 (heure française). Après 48 heures d’escale technique, le monocoque bleu et son équipage repartent en pleine forme, qui plus est dans des conditions de vent favorables.

Paprec-Virbac dans le détroit de Cook en Nouvelle Zélande.

« L’ensemble des réparations a été effectué. Luc Bartissol et son équipe ont fait un super boulot. Nous sommes en train de ranger le bateau et on part à l’heure autorisée par la direction de course. A 11h11, on largue les amarres. Une heure après, nous devrions être sous voiles, direction l’Océan Pacifique. Nous nous sommes bien reposés, bien alimentés, il va falloir vite se remettre dans le bain de la course au large. Le point positif est que nous repartons devant tous nos concurrents. Nous aurons environ 150 milles d’avance sur MAPFRE, sachant qu’ils peuvent s’arrêter (décision ce matin). Devant nous, il y a un demi-tour du monde et une course à gagner ! » a précisé Jean-pierre Dick.

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Arcelor: prévisions à la hausse … pour 2011.

18 février 2011

Arcelor a publié ses résultats pour le quatrième trimestre 2010.
A un peu plus de 78 milliards de dollars, le chiffre d’affaires est en dessous des prévisions fixées par les analystes à 83 milliards de dollars. L’excédent brut d’exploitation est dans le bas de la fourchette: 8.525 millions de dollars. Il est inférieur à la fourchette estimative (entre 8.655 millions et 9.055 millions de dollars). Les bonnes nouvelles résident dans les prévisions. L’année 2011 s’annonce meilleure que 2010 et la reprise de la demande d’acier devrait se poursuivre. Le taux d’utilisation des capacités va continuer à augmenter, passant de 69% au quatrième trimestre à 76% au premier trimestre 2011. Les prix de vente sont attendus en hausse, comme l’Ebitda (1) à la tonne. Cela signifie-t-il pour autant que les marges vont continuer à se redresser ? Cela n’est pas sûr : les coûts opérationnels devraient afficher une hausse par rapport au quatrième trimestre 2010, sous l’effet de l’augmentation des prix des matières premières. La production d’acier propre au groupe doit augmenter de 10% cette année, ce qui va toutefois limiter un peu l’explosion de la facture des achats de ces matières premières.

(1) Il s’agit du profit avant déduction des charges financières, des impôts et taxes, des dotations aux amortissements et aux provisions (dépréciations…). A comparer à l’EBE français qui est l’Excédent Brut d’Exploitation (EBE)

Premier navire de la Marine nationale chez Gardet et De Bezenac.

17 février 2011

L'Épée lors de son ultime voyage entre Brest et Le Havre.

La société familiale Gardet & De Bezenac Recycling a obtenu le démantelement de l’ancien patrouilleur « Epée » sur son site des ex-Ateliers et Chantiers du Havre. Courant janvier, le remorqueur « Chambon Noroît » a pris en charge  » Épée » pour le conduire au Havre. Désarmé à Brest en 2008 après 32 années de service, le patrouilleur va être déconstruit par le chantier Gardet & De Bezenac Recycling, assisté de la société de conseil spécialisée Topp Decide. Cette opération devrait durer un mois et demi.
Créée en 2008 sur le site des ex-Ateliers et Chantiers du Havre (ACH) à Harfleur, l’unité de déconstruction des navires occupe une superficie de 4 hectares et dispose d’un slipway(1). « C’est la première entreprise agréée pour la déconstruction sur la façade Manche-Atlantique, souligne Pascal Dupaut, manager technique de Topp Decide(2). Elle obéit aux nouvelles normes sur le recyclage des navires. En cours de classification ISO 9001 et 14001, elle peut recevoir des navires de petit et moyen tonnage. » « L’Épée » est le deuxième contrat décroché par le chantier. Le premier a concerné des citernes et bugalets de la Marine nationale à Lorient. Mise sur cale en 1975 par les Constructions Mécaniques de Normandie (CMN) à Cherbourg, « l’Épée » avait été admise au service en octobre 1976. C’était le premier patrouilleur rapide d’une série de quatre, les autres unités s’appelant « Trident », « Glaive » et « Pertuisane ».
Destinée à servir outre-mer, « l’Épée » part pour l’île de Mayotte. Le patrouilleur y sera affecté jusqu’en octobre 1985, date à laquelle il rallie Lorient pour être remis à la gendarmerie maritime après un grand carénage. Initialement prévu pour être désarmé en 2001, puis en 2006, il a finalement été placé en complément d’armement en 2007.
Il faudra un mois et demi de travail aux équipes de Gardet & De Bezenac Recycling pour que l’ex-patrouilleur soit entièrement déconstruit afin d’en prélever les tonnages recyclables (ferrailles, métaux, verre, plastiques, …) et traiter ce qui ne l’est pas, notamment les déchets dangereux: Amiante… Un véritable encouragement pour le nouveau site sur lequel 5 millions d’euros ont été investis.  » Nous avons réalisé de gros travaux d’aménagement. Sur la zone d’exploitation, le chantier a duré près de six mois. La zone de stockage a été réhabilitée en portant sa capacité à 8 000 tonnes. Nous avons équipé une station pour traiter les eaux polluées. » explique le directeur général Patrick Nion. Ce dernier souligne aussi sa collaboration avec le cabinet conseil Toppdecide pour l’ensemble des procédures d’exécution et de mise en place de la certification. « Nous avons commencé par nous faire la main sur les chalutiers, dans le cadre du plan de sortie de flotte. Le chantier s’est ensuite attaqué aux embarcations fluviales. Nous avons obtenu deux des trois appels d’offres lancés par la Marine nationale, et maintenant, nous visons les navires de commerce et les bâtiments militaires. » Les estimations font état pour la seule Marine nationale de 10 à 15 000 tonnes annuelles à déconstruire. Notre pays peut donc se placer dans ce secteur d’activité. Le Bangladesh reste le leader mondial dans la démolition de navires. Ces déconstructions sont effectuées dans des conditions dramatiques pour la santé des ouvriers et pour l’environnement. En 2008, lors de l’affaire pitoyable du Clemenceau, une campagne internationale avait révélé qu’un ouvrier mourrait chaque semaine dans un accident sur ces chantiers de démolition (Bangladesh, Inde, Chine) où ils travaillent sans aucune protection. Ils sont payés 2 euros par jour pour démolir des navires-poubelles, au moindre coût pour les compagnies qui en sont propriétaires.

http://www.gardet-bezenac.com

(1) Un slipway ou slip (ou pente douce en français) est un plan incliné destiné à mettre à l’eau ou haler à sec les bateaux  au moyen d’un chariot.

(2) TOPP DECIDE est une société de conseil en ingénierie formée en 2007 autour d’un noyau d’experts maîtrisant un savoir-faire particulièrement étendu et reconnu dans leurs domaines professionnels : maritime, nucléaire, énergie et défense.

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